Thibault et un mec en cuir

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il y a 7 ans

Thibault et un mec en cuir

Notre rencontre remonte à environ cinq ans. Je bossais pas mal sur Lyon et je ne sortais pas beaucoup aussi je draguais pas mal sur internet. Je ne me souviens plus sur quel site nous sommes entrés en contact mais c'était un matin car je n'étais pas encore habillé et je buvais un mug de thé qui traînait à côté de l'ordinateur pendant que je faisais dix mille choses à la fois. Tout d'un coup j'ai eu un message d'un gars dont le pseudo devait être un truc comme "jeune mec soumis". Il n'y avait pas de photo sur son profil mais à la question "tu recherches quoi ?" qui m'agace toujours un peu j'ai eu envie de répondre quelque chose comme "des champignons !" mais je me suis ravisé en lisant sa description. C'était genre "Jeune mec se mettrait à disposition d'un mec viril pour tout fantasme". Je répondis donc que je cherchais un plan cul. Je demandais au gars de se décrire :

"Thibaud 19 ans, 170 60 kg, châtain, moyennement poilu etc etc..."

Son âge me rebutait un peu. Moi les ados post pubères ça me branche rarement pourtant, le côté jeune homme soumis m'excitait assez. Nous avons échangé des photos et il me proposa de venir chez moi après son boulot vers 16 h. J'acceptai tout en lui précisant -peut-être un peu pour lui faire peur que j'étais très exigeant. Il insista. Je passai ma journée à faire dix mille choses et je n'était pas rentré depuis un quart d'heure lorsque l'interphone retentit :

"C'est Thibaud."

"Quatrième. Porte de gauche."

Je n'avais même pas eu le temps de prendre une douche mais il faisait encore froid malgré le fait qu'on était en avril alors tant pis. Je pris un air de circonstance, laissai la porte entrouverte et m'installai en jean et pull marin sur le canapé. Je vis la porte s'ouvrir tout doucement et là, devant moi, se tenait un jeune gars en costard, manifestement intimidé. D'emblée, je l'ai trouvé assez mignon et je me suis dit que je n'allais pas lui plaire pourtant il referma la porte derrière lui. Ok. Tu veux jouer ! Pas de problème. Je lui lançais un : "A poil" tout en restant un peu avachi dans le canapé. Timidement, Thibaud retira sa veste, sa cravate, ses chaussures (pointues très à la mode - je déteste !) et ses chaussettes. Il laissa glisser son pantalon le long de ses jambes et se retrouva en boxer (un truc à la mode genre Armani mais c'était une autre marque) noir avec une ceinture rouge. "Allez le calbut aussi". Je jouais mon rôle de dominateur à la perfection.

J'avais très envie de voir ce qu'il avait dans le slip... et dans le ventre. Il fit glisser son boxer aussi. Il était devant moi, nu comme un ver, je n'avais même pas enlevé mes pompes donc j'avais un avantage certain. Je le fis mettre à quatre pattes au milieu du salon et avancer vers moi. Il était moins maigre que je l'avais cru tout d'abord. Certes un peu sec mais quand même assez développé. Je l'ai trouvé vraiment mignon. J'ai pris sa nuque et j'ai collé sa tête contre la braguette de mon jean. Il bandait très très dur déjà et je voyais une goutte se former au bout de son gland décalotté. Je sortis mon sexe aussi, me soulevant légèrement pour baisser mon jean (je ne portais pas de sous vêtements). J'enlevai mon pull rayé et je me retrouvai, le pantalon sur les chevilles et torse nu. Il me suçait avec application insistant sur le gland passant sa langue sous mes couilles. C'était génial. Le petit gars n'en n'était pas à son coup d'essai, on allait s'amuser. Je lui ordonnait d'enlever mes baskets, et mon fut. Il obéit j'étais donc nu en chaussettes de tennis. Je me suis levé, l'ai jeté sur le canapé, lui ai immobilisé les mains et je l'ai embrassé, enfonçant ma langue très très profondément dans sa bouche. Il mouillait de plus en plus, je le sentais contre mon ventre. Je lui ai relevé les jambes et j'ai commencé à lui bouffer le cul tout en tenant très fermement ses fesses écartées. Il gémissait, s'ouvrait très facilement. Je me souviens m'être dit que je n'aurai pas besoin de gel. Je le retournai. Il était accoudé contre le dossier du canapé et je continuais à maîtriser l'ouverture de son cul. "T'aimes ça petit bâtard..."

Je me sentais grisé, je lui chuchotais des truc salaces à l'oreille tout en le doigtant et en enfilant un préservatif. J'entrai en lui d'un coup lui arrachant un cri. Ca avait un petit côté B e s t i a l qui n'était pas pour me déplaire. J'ai commencé à le pilonner. Le cuir du canapé était humide de sa mouille. J'étais super excité. Je lui claquais les fesses très fort et il se donnait encore plus. Je sentais tout son corps réagir, il gémissait d'une manière plus virile que son physique ne le laissait supposer de prime abord. Je me retirai et l'allongeait sur le dos. J'écartai ses jambes et entrai une nouvelle fois brutalement. Je l'embrassai très langoureusement. Léchais ses lèvres, son cou. Je lui maintenais les poignets, je ne suis pas trop mal monté et j'avais vraiment l'impression d'être très loin en lui. Vous savez, cette impression quand on est actif, de posséder l'autre totalement. Il se décontractait de plus en plus. J'ai commencé à l'autoriser à se branler. Encore des coups de reins, des baisers. Je crois même que je l'ai mordu à l'épaule. Il a fini par éjaculer et je n'ai pas tardé non plus à jouir sur son visage après m'être retiré. Je suis allé chercher une serviette et je l'ai emmené sous la douche.

Là j'ai continué de l'embrasser pendant qu'il me savonnait partout. J'ai fait de même, nous n'avions pratiquement pas parlé. Puis nous nous sommes séchés. Nous sommes retournés dans le salon, totalement à poil. Il a accepté un café et nous nous sommes présentés. Thibaud était un fils de famille et il avait échoué à l'école d'ingénieur. Il faisait un stage dans l'immobilier. Il était nu dans mon salon, le torse presque imberbe mais les jambes très très poilues. Je l'ai vraiment trouvé mignon et nous nous sommes revus beaucoup pendant plusieurs mois. Je l'ai même emmené en vacances. Il faisait mes quatre volontés et m'obéissait au doigt et à l'oeil. J'ai réalisé plein de fantasmes avec lui. Je vous raconterais. Cependant, je trouvais que la relation de dépendance avait quelque chose d'exagéré et ça m'a fait peur. Je suis parti bosser en Suisse pendant quelques semaines et quand je suis rentré, nos relations se sont espacées. J'avoue que j'étais content quand je le voyais mais je ne provoquais plus autant de rencontres qu'avant.

Nous nous sommes fréquentés pendant quelques mois. Très vite l'ascendant que j'avais sur lui m'a dérouté et fasciné. Je le dominait totalement et il faisait tout ce que je voulait. Lorsque je lui ai proposé de m'accompagner au "Trou", un sex club lyonnais, j'ai senti une réticence mais il a accepté. J'avais très envie de le partager.

Je lui demandé de s'habiller en jean et en baskets, sans slip (il faut être pratique) et de me rejoindre rue des Capucins à 21 h précises. Je suis très ponctuel et j'en attendais autant de lui. Autant vous dire qu'il a obéi. Lorsque je suis arrivé, il attendait déjà dans le froid. Je l'ai trouvé vraiment mignon avec son blouson en jean, son gros pull et son 501 moulant. Décidément, j'ai vraiment des goûts éclectiques car il est plutôt menu et en principe, ça ne m'attire pas. Il portait une paire de baskets Nike très "petit lascar de banlieue". J'ai trouvé ça excitant. Nous avons sonné, j'ai pris deux entrées sans l'avoir laissé dire ouf et nous sommes entrés. Nous avons posé nos blousons et je lui ordonné de quitter aussi son pull. Je le voulais torse nu. J'ai posé un bisou sur sa nuque car je voyais bien qu'il était nerveux. Du coin de l'oeil, j'ai aperçu que le mec de l'entrée souriait. Je l'ai pris par la taille et l'ai embrassé très très longuement tout en marchant dans la pénombre. Je le tenais serré contre moi. Il était torse nu, un peu tendu. J'avais heureusement prévu du poppers. Nous avons croisé quelques mecs qui tournaient en se matant. Le genre gravure de mode qui se la joue. Je ne supporte pas !

Nous nous sommes baladés dans les deux étages en nous embrassant de temps en temps et en nous tenant par la main. Le jean de Thibaud était tellement serré que je remarquai sa queue qui était dure et se dessinait le long de sa cuisse je lui ai souri.

Je l'ai entraîné dans une cabine et j'ai commencé à le débarrasser de son jean. Sa queue était raide, le gland décalotté, il mouillait. Je lui ai mordillé les tétons puis je l'ai assis sur la couchette qui était très en hauteur. Ses pieds ne touchaient plus le sol. Je le tenais serré dans mes bras et je l'embrassai encore en passant ma langue sur son visage et son cou. Il avait ses mains posées sur la couchette et s'accrochait au matelas tandis que je lui mordillais les tétons. Il les avait peu développés et j'avais un peu de mal à les tirer avec mes dents mais il avait l'air d'apprécier. Vu que la porte était ouverte, des mecs se succédaient pour mater. J'en ai repoussé deux qui ne m'auraient même pas regardé si j'avais été tout seul et j'ai continué à lécher Thibaud sur tout le corps. J'ai enlevé mon pull et je l'ai fait mettre à quatre pattes sur la couchette. Son cul était au niveau de ma bouche et je l'ai léché et bouffé avec énergie. Il avait la tête posée et son cul levé m'excitait à m o r t . Là, un mec d'une bonne quarantaine, poilu, vêtu d'un pantalon en cuir et torse nu s'est approché. Celui-là me plaisait bien. Je l'ai laissé entrer. Nous nous sommes embrassés. J'ai senti Thibaud se raidir. Il était toujours excité mais sa nervosité repris le dessus. Nous sommes sortis tous les trois de la cabine en emportant nos fringues. J'avais ouvert mon jean et ma bite dépassait. Le costaud et moi avons entraîné Thibaud jusqu'à une cabine plus grande. Il ne faisait pas le malin.

Je l'ai fait mettre à genoux et l'ai obligé à me sucer en embrassant le mec. En y regardant mieux, il avait bien cinquante ans, un torse puissant, un peu grassouillet avec une moquette impressionnante. J'ai baissé son cuir. Il était relativement bien monté mais surtout, il avait un piercing au gland. Ca m'a un peu embêté. J'ai toujours peur que ce genre de truc déchire la capote. Je décidai que je serai le seul à entrer dans Thibaud mais je l'obligeai à sucer le type qui se mit à bander direct en tenant la nuque de mon petit partenaire tout en m'embrassant. Thibaud avait compris, il allait de l'un à l'autre, léchait les couilles, le haut des cuisses. Je le fis relever. Et hop je le penchai en avant en lui faisant cambrer son cul un peu brutalement. J'ouvris une capote. Le mec en cuir le tenait par les épaules. Son sexe frottait contre le visage du gamin. La situation était super excitante. Je suis entré dans son cul direct. Il a gémi. Le costaud le tenait solidement et j'ai commencé à le pilonner. J'ai dit "Bouffe !" en poussant sa tête sur la bite de notre partenaire improvisé. J'étais vraiment très très excité et le lui claquait les fesses très fort en le baisant. Le troisième a poussé le verrou. Je l'ai laissé faire. Thibaud gémissait mais il se débrouillait très bien. Je le tenais solidement et le costaud aussi.

C'était terrible. Ca faisait limite v i o l ent mais je sentais qu'il prenait son pied car tout son corps réagissait. Il tenait les jambes du mec en cuir en s'agrippant solidement et bouffait son sexe jusqu'à la garde. Je redoublai de coups de reins. Il gémissait. Je vis que le troisième allait jouir. Je lui fis signe de se retirer de sa bouche. Je me retirai aussi. Nous avons empoigné Thibaud et l'avons allongé par terre (il n'y avait pas de couchette dans cette cabine (seulement un carcan mais nous ne nous en sommes pas servi) puis nous nous sommes agenouillés, les futs baissés et nous avons éjaculé sur son visage.

Je lui ai relevé les jambes tandis que le troisième lui tenait les mains pour l'empêcher de se branler. J'ai attrapé sa queue d'une main et lui ai enfoncé deux doigts de l'autre. Il n'a pas été long à éjaculer. il était couvert de sperme. Son visage, sa barbe naissante, ses cheveux, son torse imberbe, se jambes poilues, son pubis, il y en avait partout. J'ai saisi du papier dans le dérouloir et je l'ai essuyé doucement. Le type a remonté son pantalon et est sorti. J'ai embrassé Thibaud et lui ai glissé "merci" à l'oreille. Il m'a rendu mon baiser.

Nous nous sommes rhabillés encore tout collants puis nous sommes sortis dans la rue. Je sentais que Thibaud voulait me dire quelque chose mais qu'il n'osait pas.

"Qu'est-ce qu'il y a ?"

"Tu veux pas dormir chez moi ? J'habite pas loin."

J'ai accepté et nous sommes allé au studio qu'il louait effectivement à deux pas de là. C'était une pièce assez grande sous les toits. Nous nous sommes embrassés encore mais l'odeur du sperme me dégoûtait un peu et, en dépit de l'heure tardive, nous nous sommes douchés. Il s'est endormi dans mes bras dès que nous avons été dans le lit. Quand j'étais célibataire, il était extrêmement rare que je dorme avec quelqu'un mais j'ai aimé ce moment. Le matin, je me suis levé pour lui acheter des croissants et tout à tas de viennoiseries. Je le connaissais peu et je ne savais même pas ce qu'il aimait.

STANLYON

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